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La tannerie traditionnelle des peaux de mouton et de chèvre. Les (maroquins) de réputation mondiale, et dans une moindre mesure, de boeuf et de chameau, reste une des industries artisanales les plus actives, de même que la maroquinerie à qui elle fournit sa matière première.
Les principales utilisations et techniques de travail du cuir :
La pelleterie et la confection de vêtements en cuir
Les cuirs brodés de fil de soie.
Les cuirs repoussés ou décorés de simples filets tracés au fer qui servent à confectionner la plupart des articles de petite maroquinerie, très populaires auprès des touristes ( sac de voyage, sacoches, porte feuilles, porte-monnaie, ceintures, sandales…)
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Les cuirs dorés à la feuille (18 carats) dont la meilleure qualité et en peau de chèvre, sur lesquels sont imprimés au fer les dessins d’un entrelacs ou d’un semis d’étoiles. Cette technique est très utilisée pour orner des pouf, des enveloppes à documents, des liseuses et divers articles de petite maroquinerie ainsi que les garnitures de bureau, les reliures en pleine peau et diverses sortes de boites et de coffrets.
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La maroquinerie saharienne ornée d’un décor polychrome.
La baboucherie qui, dans les années 50. occupait à elle seule quelque 15 000 artisans fabriquant 3 à 4 millions de paires de babouches et de mules.
Une place a été faite enfin à une maroquinerie moderne, qui utilise des peaux tannée selon des procédés industriels modernes et copie ou adapte des modèles européens, mais qui bénéficie largement de l’expérience acquise au cours de nombreuses générations d’artisanat du cuir.
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