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Dans toutes les villes du Maroc résonne, dans le quartier ou il sont groupés, le marteau des dinandiers frappant les plaques de laiton ou de cuivre pour en façonner les objets ménagers dont aucune famille ne saurait se passer : chaudrons et marmites de touts dimensions, plateaux qui recevront un décor gravé au burin, chandeliers, brûle parfums, cafetières et théières.

Là encore, si les cités ont imprimé aux objets les décors les plus somptueux, si elles ont façonné des pièces de serrurerie et de lustrerie dignes des édifices civils et religieux qui devaient les accueillir, les zones rurales n’en ont pas moins produit des objets d’une facture vigoureuse, telles les jarres des dinandiers du sous ou les cadenas et les marteaux à sucre du Tafilalet et des oasis sahariennes.

Mais c’est surtout dans la confection des bijoux d’argent et des armes que les maîtres artisans.
Des tribus ont déployé leur savoir faire et leur sens du décor : armes à feu, poignards qui sont compagnon inséparable de l’homme de Sud. Bijoux d’argent dont aucune femme de la compagne ne saurait se passer et qui, jadis, permettaient comme d’autres élément du costume ou les dessins des tatouages de reconnaître au premier coup d’oeil l’appartenance tribale de celle qui les portait.

 


 

   

 






 

 

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